Zazen Paris : dojo zen lignée Deshimaru

Le dojo zazen Paris est un petit dojo de pratique de zazen fondé dans les années 1990 par la nonne et militante féministe Josy Genji Thibaut. Ce dojo convivial est rattaché à la sangha de maître Kosen Thibaut, fils de Josy Thibaut et disciple de maître Deshimaru, qui dirige le dojo zen de Montpellier.

Zen Paris vous accueille pour une pratique simple et authentique du zen soto (proche du zen rinzaï) : l’essence de la pratique, c’est la méditation en posture de zazen en groupe.

Le zen que nous a transmis Deshimaru, c’est ça. Deshimaru habitait à Paris et il a enseigné à Dalida, Arnaud Desjardins, Jodorowsky, Béjart, des gens comme ça, tout un milieu intellectuel. Aussi, à toute une jeunesse un peu hippie, qui n’étaient pas des moines ni des fils de moines. Il n’y avait pas de temple, on a bricolé un truc, on a fait zazen où on pouvait.Maître Kosen

Notre dojo entretient des liens étroits avec d’autres dojos, basés en France et à l’étranger  (Dijon, Lyon, Montpellier, Barcelone, Madrid, Québec, Buenos Aires, Genève, Budapest, Amsterdam…).

Le dojo Zen Paris pratique le zen sōtō transmis par maître Deshimaru et son proche disciple et héritier, maître Kosen.

Structuré en association à but non lucratif peu avant la disparition de Josy, le dojo continue à proposer des séances et initiations régulières. Affilié à la Kosen sangha, il est ouvert à d’autres sanghas héritières de maître Deshimaru. Le dojo anime également des séances de couture, et des matinées, journées ou week-ends de méditation.

Dans la continuité de l’esprit à la fois rigoureux et légèrement iconoclaste de sa fondatrice, le dojo zazen Paris offre une pratique sincère et forte associée à une grande tolérance et liberté d’esprit. Les pratiquant·e·s expérimenté·e·s y trouveront un cadre accueillant et sans dogmatisme. Les débutant·e·s pourront s’initier librement à la pratique de la méditation zen en profitant de l’énergie d’un dojo engagé, mais sans prétention.

Le dojo de zazen Zen Paris loue un petit local calme dans le dix-huitième arrondissement parisien, respectant la tradition selon laquelle ce qui définit un dojo zen, c’est l’intensité de la pratique et le respect de la posture silencieuse de zazen.